Dans le cadre de son Séminaire d’été 2024 « Retours vers le futur : réinventer la prospective », l’ESFAM a réuni des professeur.e.s, enseignant.e.s-chercheur.s, expert.e.s et doctorant.e.s de 20 universités et de 11 pays de l’espace francophones : Albanie, Arménie, Bulgarie, Cambodge, France, Madagascar, Maroc , Moldavie, Pologne, Roumanie et Tunisie. Cet évènement qui a eu lieu du 10 au 12 juillet à l’Université de Sofia et à l’ESFAM a été organisé en partenariat avec l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l’Université Paris-Panthéon-Assas, l’Université de Sofia « Saint Kliment Ohridski », et la Nouvelle université bulgare.
L’ouverture officielle du séminaire présidée par Prof. Mohamed Ketata, directeur de l’ESFAM a été honorée par la Vice-Présidente de la République de Bulgarie, S. E. Mme Iliana Yotova, par l’Ambassadeur du France S. E. M. Joël Meyer, par S.E Mme Zakia EL MIDAOUI, Ambassadrice du Royaume du Maroc en Bulgarie et Présidente du GAF.
Dans son discours la Vice Présidente Mme Yotova a félicité l’ESFAM et ses partenaires d’avoir mis l’accent, à travérs ce séminaire « sur la capacité à résoudre les crises de manière adéquate et sur les possibilités d’anticiper les phénomènes et les processus futurs….Avant les avis définitifs des hommes d’État et des politiciens, il faut l’expertise – de la science, des professionnels, des jeunes… Nous avons besoin de solutions nouvelles et flexibles pour répondre à l’évolution frénétique de l’économie. » a souligné M. Yotova.
Madame l’Ambassadrice du Maroc a accentué sur le constat que « la prospective, basée sur la recherche et l’innovation utilise l’intelligence collective de manière structurée et systématique pour anticiper des scénarios futurs. C’est pourquoi, sans enseignement ni recherche, il n’y a ni innovation, ni progrès. Sans ces derniers, Aucune solution ne peut être apportée aux défis globaux, actuels et futurs auxquels se trouve confrontée la communauté internationale dans son ensemble. »
L’Ambassadeur de France a rappelé que la prospective est définie comme « ensemble de recherches concernant l’évolution future des sociétés et permettant de dégager des éléments de prévision ».
L’ouverture a été suivie par une conférence inaugurale donnée par Mme Imène Khanchel, Professeur à l’Université de la Manouba de Tunisie.
Pendant ces trois journées de présentations et d’échanges intenses, les participants ont débattu sur :
La partie finale était réservée aux doctorant.e.s qui ont présenté avec grand succès devant les experts leurs thèses en 180 secondes.
L’ESFAM remercie toutes et tous participant.e.s au séminaire pour leur motivation et la richesse de leurs communications.